[Critique] The Dictator (Larry Charles)

Pour cette troisième collaboration entre le réalisateur Larry Charles et le comédien Sacha Baron Cohen, ce dernier campe encore une fois un personnage haut en couleur pour une comédie toujours fondée sur des stéréotypes et quiproquos. Un dictateur dans l’air du temps, parfois lourd, parfois désopilant, mais qui gomme le mauvais souvenir laissé par Brüno, le précédent personnage du comédien(…)

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[Critique] Faust (Alexandre Sokourov)

Dernière partie de sa tétralogie sur les thématiques du totalitarisme et de la corruption, Faust, revu par Alexandre Sokourov, a été couronné du Lion d’Or à la précédente Mostra de Venise. Le cinéaste russe signe encore une œuvre d’une grande singularité, tantôt brillante, tantôt ratée – un projet surprenant qui ne manquera pas d’alimenter de nombreux débats.

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[Critique] Holy Motors (Leos Carax)

Depuis la sortie de Pola X en 1999, Leos Carax s’était volatilisé des salles obscures, jusqu’à réapparaître en 2008 dans le triptyque Tokyo!, avec un segment délirant mettant en scène Denis Lavant en M. Merde. Plus qu’un grand retour, Holy Motors frappe par son ambition, son audace et son intelligence. Un film incroyable.

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[Critique] Le Grand soir (Delépine/Kervern)

Pour leur cinquième long-métrage, le duo Delépine/Kervern réunit Benoît Poelvoorde et Albert Dupontel dans une satire de notre société, vue par le prisme de deux frères marginaux et bien fracassés. Malgré un mode narratif moins directionnel que leurs précédentes productions, Le Grand Soir s’avère tout aussi percutant et savoureux.

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