Critique : Omar la fraise

Présenté en Séance de minuit au Festival de Cannes 2023, Omar la fraise, premier long-métrage d’Elias Belkeddar – co-scénariste d’Athena de Romain Gavras et de Mes jours de gloire d’Antoine de Bary –, dépeint la nouvelle vie de malfrats réfugiés à Alger. Dynamique et doté d’un esprit joueur, le film prévaut par son duo central campé par Reda Kateb et(…)

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Critique : Chien de la casse

Premier long-métrage de Jean-Baptiste Durand, en salle depuis le 19 avril 2023, Chien de la casse utilise avec brio les éléments du film de potes tout en s’ancrant dans la chronique sociale. Une histoire qui met pleinement en avant le talent du comédien Raphaël Quenard, qui peut déployer un jeu caustique.

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Critique : Misanthrope

Nous avions découvert le cinéaste argentin Damián Szifron dans le féroce et désopilant Les Nouveaux sauvages. La sauvagerie montre un autre visage ici puisque Misanthrope suit les forces de l’ordre de Baltimore à la poursuite d’un tueur de masse. Un thriller prenant, bien que sa mécanique soit imparfaite.

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Critique : Beau is afraid

Pour son troisième long-métrage, Ari Aster, à qui l’on doit Hérédité (2018) et Midsommar (2019), s’écarte de l’horreur « pure » pour composer un voyage hallucinogène, exploration exacerbée des angoisses d’un homme campé par un Joaquin Phoenix fantastique. Malgré des signes de faiblesse dans sa dernière partie, cette odyssée de trois heures tient du film exceptionnel.

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Critique : Je verrai toujours vos visages

Suivant le même principe que Pupille (2018), Je verrai toujours vos visages nous invite dans un univers particulier, se montrant à la fois didactique et touchant – et sans jamais verser dans le mélodrame. La justice restaurative, ou le pouvoir sacré du dialogue, entre expression et écoute. Un long-métrage captivant.

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