Critique : Beau is afraid

Pour son troisième long-métrage, Ari Aster, à qui l’on doit Hérédité (2018) et Midsommar (2019), s’écarte de l’horreur « pure » pour composer un voyage hallucinogène, exploration exacerbée des angoisses d’un homme campé par un Joaquin Phoenix fantastique. Malgré des signes de faiblesse dans sa dernière partie, cette odyssée de trois heures tient du film exceptionnel.

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Critique : Je verrai toujours vos visages

Suivant le même principe que Pupille (2018), Je verrai toujours vos visages nous invite dans un univers particulier, se montrant à la fois didactique et touchant – et sans jamais verser dans le mélodrame. La justice restaurative, ou le pouvoir sacré du dialogue, entre expression et écoute. Un long-métrage captivant.

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Critique : Annie Colère

Plébiscité lors de sa sortie en salle, Annie Colère s’invite dans les foyers au format DVD et Blu-ray. Ce récit nous plongeant dans les avortements illégaux menés par la MLAC dans les années 1970 avant la loi Veil se montre pourtant poussif malgré la présence de Laure Calamy. 

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Critique : Tár

Écrit pour Cate Blanchett et sublimé par l’actrice australienne, Tár de Todd Field dresse le portrait tout en nuances d’une icône de la musique classique, cheffe d’orchestre de premier rang mais qui, derrière son talent, cache une personnalité loin d’être admirable. Une œuvre puissante ouvrant à plusieurs grilles de lecture.

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Critique : La Tour

Guillaume Nicloux s’essaie au film d’horreur fantastique avec La Tour, en confinant les habitants d’une barre d’immeuble, coupée du reste du monde par un épais brouillard mortel. Si le film se montre particulièrement saisissant dans ses premiers chapitres, il finit par tomber dans l’anecdotique film de survie.

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