Critique : Dune deuxième partie

Timothée Chalamet dans Dune deuxième partie

Le destin de Paul Atréides prend de l’ampleur avec Dune : deuxième partie de Denis Villeneuve. Avec un univers et des enjeux installés, ce second opus, qui débute à un moment critique, déploie son aventure avec retentissement. Un blockbuster puissant, à la résonance vertigineuse en cette période de guerres.

LIRE LA SUITE

Critique : Mission Impossible – Dead Reckoning Partie 1

Tom Cruise à moto dans Mission Impossible Dead Reckoning Partie 1

Ethan Hunt accepte ses dernières missions : après cinq d’absence à cause de la pandémie, l’ultime volet de la saga Mission Impossible, scindé en deux parties, gagne enfin les salles de cinéma. Christopher McQuarrie reste le réalisateur privilégié par Tom Cruise malgré le décevant opus précédent : le tandem retrouve la bonne formule dans ce pénultième long-métrage, efficace malgré des longueurs, grâce à des(…)

Lire la suite

Critique : Dune

Après avoir donné dans la science-fiction intimiste avec Premier Contact, puis réussi à prolonger l’univers du film culte de Ridley Scott avec Blade Runner 2049, Denis Villeneuve s’attaque à une adaptation où d’autres cinéastes et producteurs se sont égarés. Plutôt fidèle à l’œuvre de Frank Herbert, Dune se positionne comme un film soigné, doté d’un caractère majestueux, mais manquant terriblement(…)

Lire la suite

Critique : Mission Impossible Fallout

Trois ans après l’excellent Mission Impossible – Rogue Nation, Ethan Hunt est de retour avec, une fois n’est pas coutume, le même réalisateur aux commandes du nouvel opus : Christopher McQuarrie. S’inscrivant directement dans la lignée du précédent film, Mission Impossible – Fallout montre un Tom Cruise toujours aussi casse-cou mais dans une œuvre tristement laborieuse et prévisible.

LIRE LA SUITE

Critique : The Greatest showman

Alors que le cinéma américain nous livre de beaux cadeaux en ce mois de janvier, voilà une comédie musicale pour nous rappeler que Hollywood est aussi capable du pire en matière de divertissement. Hideux sur le fond et la forme, le premier long métrage de Michael Gracey est une horreur phénoménale.

LIRE LA SUITE