Critique : Beau is afraid

Pour son troisième long-métrage, Ari Aster, à qui l’on doit Hérédité (2018) et Midsommar (2019), s’écarte de l’horreur « pure » pour composer un voyage hallucinogène, exploration exacerbée des angoisses d’un homme campé par un Joaquin Phoenix fantastique. Malgré des signes de faiblesse dans sa dernière partie, cette odyssée de trois heures tient du film exceptionnel.

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Critique : Je verrai toujours vos visages

Suivant le même principe que Pupille (2018), Je verrai toujours vos visages nous invite dans un univers particulier, se montrant à la fois didactique et touchant – et sans jamais verser dans le mélodrame. La justice restaurative, ou le pouvoir sacré du dialogue, entre expression et écoute. Un long-métrage captivant.

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Critique : Les Trois mousquetaires – D’Artagnan

Enième adaptation de l’œuvre d’Alexandre Dumas, Les Trois mousquetaires : D’Artagnan, premier segment d’un diptyque, vise à redorer le blason du film d’aventures français. Sous l’impulsion du producteur Dimitri Rassam et du groupe Pathé, c’est le réalisateur Martin Bourboulon (Eiffel, Papa ou maman) qui se retrouve aux commandes de cette machine. Plutôt honorable, on regrette quelque part un résultat qui aurait(…)

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Critique : Annie Colère

Plébiscité lors de sa sortie en salle, Annie Colère s’invite dans les foyers au format DVD et Blu-ray. Ce récit nous plongeant dans les avortements illégaux menés par la MLAC dans les années 1970 avant la loi Veil se montre pourtant poussif malgré la présence de Laure Calamy. 

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Critique : Bonne conduite

Le réalisateur Jonathan Barré continue son aventure avec David Marsais et Grégoire Ludig du Palmashow avec Bonne conduite. Seulement ici, au centre, ce n’est pas le duo comique mais Laure Calamy dans un drôle de rôle où elle navigue entre prévention routière et sorties de route assistées.

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