Critique : Beau is afraid

Pour son troisième long-métrage, Ari Aster, à qui l’on doit Hérédité (2018) et Midsommar (2019), s’écarte de l’horreur « pure » pour composer un voyage hallucinogène, exploration exacerbée des angoisses d’un homme campé par un Joaquin Phoenix fantastique. Malgré des signes de faiblesse dans sa dernière partie, cette odyssée de trois heures tient du film exceptionnel.

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Critique : Les Survivants

Premier long métrage de Guillaume Renusson, Les Survivants réunit Zar Amir Ebrahimi et Denis Ménochet pour une œuvre à la frontière du drame et du thriller : avec en toile de fond le deuil et la culpabilité, il est question au premier plan de flux migratoires.

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Critique : As bestas

Un couple de fermiers français, installé en Galice, affronte des voisins espagnols de plus en plus malveillants à leur égard. Au confluent des genres, As bestas, nouveau long métrage de Rodrigo Sorogoyen, s’inscrit parfaitement dans une filmographie remarquable, sondant toujours les profondeurs et troubles de l’âme humaine.

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Critique : Assassin’s Creed

Jeux vidéo et cinéma font parfois bon ménage en matière de box-office, mais sur le plan artistique, les adaptations convaincantes manquent cruellement à l’appel. Assassin’s Creed s’inscrit dans la lignée des terribles échecs, pourtant, il y avait pas mal d’arguments pour y croire.

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