Critique : Beau is afraid

Pour son troisième long-métrage, Ari Aster, à qui l’on doit Hérédité (2018) et Midsommar (2019), s’écarte de l’horreur « pure » pour composer un voyage hallucinogène, exploration exacerbée des angoisses d’un homme campé par un Joaquin Phoenix fantastique. Malgré des signes de faiblesse dans sa dernière partie, cette odyssée de trois heures tient du film exceptionnel.

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