Critique : La Bête

Léa Seydoux dans une baignoire futuriste dans La Bête

Léa Seydoux retrouve Bertrand Bonello, presque dix ans après Saint Laurent. Sans la tragique disparition de Gaspard Ulliel, auquel le film est dédié, La Bête, qui s’appuie sur le roman La Bête dans la jungle d’Henry James, aurait marqué les retrouvailles d’un joli trio. C’est George Mackay qui hérite du premier rôle masculin de ce film aussi troublant qu’imparfait, évoquant(…)

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