[Critique] Mud (Jeff Nichols)

Présenté la veille de la clôture du Festival de Cannes 2012, Mud, troisième long métrage de Jeff Nichols, ne fut pas récompensé malgré ses qualités indiscutables. Une année complète aura été nécessaire pour que cette perle trouve le chemin des salles françaises. A ne pas manquer.

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[Critique] A la merveille (Terrence Malick)

Personne n’aurait misé sur un retour de Terrence Malick seulement deux ans après la sortie de l’immense The Tree of Life. Il semblerait que le réalisateur américain soit dans une période prolifique, multipliant les projets cinématographiques comme jamais. Démarche réjouissante pour les cinéphiles ? Peut-être pas, A la merveille, premier film de cette vague, s’avère très décevant.

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[Critique] Anna Karenine (Joe Wright)

L’adaptation d’Anna Karenine de Tolstoï s’apparente à un véritable rituel au cinéma : il ne faut rarement plus d’une quinzaine d’années pour voir un réalisateur livrer une nouvelle version de cette œuvre emblématique de la littérature russe. C’est Joe Wright (Reviens-moi, Hanna) qui met en scène cette nouvelle mouture, adapté par Tom Stoppard (Brazil, Shakespare in love), avec dans le(…)

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[Critique] Paperboy (Lee Daniels)

Lee Daniels est probablement entouré d’une aura divine : après avoir réussi à obtenir plusieurs nominations et récompenses aux Oscars pour son lamentable mélodrame Precious, voici qu’il réussit à entrer en Compétition Officielle à Cannes en 2012 avec Paperboy. Si le réalisateur fait preuve d’un style moins criard, la profonde vanité habitant ce troisième long métrage lui ôte toute saveur.

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[Critique] Insolation (Hirsch/Thomas)

Premier long métrage des brésiliens Felipe Hirsch et Daniela Thomas, Insolation aborde l’amour dans ce qu’il y a de plus douloureux, lorsqu’il n’est pas partagé. Plutôt intelligente dans son propos, cette oeuvre souffre terriblement de son aspect théorique et de son caractère glacial.

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