Critique : The Greatest showman

Alors que le cinéma américain nous livre de beaux cadeaux en ce mois de janvier, voilà une comédie musicale pour nous rappeler que Hollywood est aussi capable du pire en matière de divertissement. Hideux sur le fond et la forme, le premier long métrage de Michael Gracey est une horreur phénoménale.

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Critique du film Chappie

Bien que Chappie se distingue du raté Elysium, le précédent long métrage de Neill Blomkamp, cette relative réussite (ou relatif échec, selon l’humeur) prouve que le réalisateur sud-africain ne joue toujours pas dans la cour des grands. Critique de ce singulier film de science-fiction.

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[Critique] My Movie project

Comédie à sketchs initiée par Charles B. Wessler, producteur des films des frères Farrelly, My Movie project est un raté phénoménal. Malgré un casting fabuleux et la variété de scénaristes et réalisateurs derrière chaque segment, la comédie américaine s’offre une nouvelle référence en matière de nullité abyssale.

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[Critique] Les Misérables (Tom Hooper)

Du bégaiement au chant il n’y a qu’un pas. Après avoir reçu moult récompenses pour Le Discours d’un roi, Tom Hooper s’attaque à une colossale et audacieuse relecture des Misérables. Fusillé par la presse française, le film ne méritait pas d’être enterré si simplement bien que des lacunes ternissent inexorablement l’ensemble.

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