Critique : Je verrai toujours vos visages

Suivant le même principe que Pupille (2018), Je verrai toujours vos visages nous invite dans un univers particulier, se montrant à la fois didactique et touchant – et sans jamais verser dans le mélodrame. La justice restaurative, ou le pouvoir sacré du dialogue, entre expression et écoute. Un long-métrage captivant.

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Critique : Mourir peut attendre

Nous avions quitté James Bond sur une étrange catastrophe avec 007 Spectre de Sam Mendes. Pour la dernière de Daniel Craig au service de sa Majesté, c’est Cary Joji Fukunaga (derrière la première saison de True Detective, Sin Nombre et Beast of no nation) qui hérite du poste de réalisateur et de co-scénariste. L’épisode le plus long de la saga,(…)

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