Critique : Synonymes

Depuis L’institutrice en 2014, Nadav Lapid ne s’était consacré au cinéma qu’au travers du format court. Avec Synonymes, en partie autobiographique, le cinéaste israélien raconte son arrivée à Paris dans une œuvre particulièrement troublante, qui bouillonne d’une énergie rare. Ours d’Or à la Berlinale 2019.

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