Critique : Viens je t’emmène

Bien qu’il compose avec les attentats terroristes et la prostitution, Viens je t’emmène s’inscrit dans le registre de la comédie, avec un ton léger et décalé. Au travers des mésaventures de Médéric, Alain Guiraudie aborde la peur de l’autre et le rejet sous un angle séduisant, au cœur de Clermont-Ferrand.

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Critique : Benedetta

Présenté en compétition officielle au Festival de Cannes 2021, Benedetta de Paul Verhoeven dresse le passionnant portrait d’une nonne du 17ème siècle, analysant la place de la femme dans l’Eglise catholique, entre mysticisme, manipulation et amours interdits.

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Critique : Le Diable, tout le temps

Réalisateur méconnu, Antonio Campos s’inscrit dans la liste des réalisateurs américains à suivre avec Le Diable, tout le temps, distribué par Netflix. Ce thriller se déroulant sur deux décennies en Virginie-Occidentale montre un visage terrible de l’Amérique avec une belle bande d’acteurs, avec en tête, l’émancipation de Tom Holland hors des marvelleries.

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Critique : Tu mourras à 20 ans

Premier long métrage d’Amjad Abu Alala, salué dans de nombreux festivals (Lion d’Or du Futur Meilleur Premier film à Venise, Grand Prix aux Festivals d’Amiens, El Gouna et Fribourg), Tu mourras à 20 ans témoigne du profond obscurantisme qui règne dans le pays du cinéaste, le Soudan. Un drame précis, avec quelques images envoûtantes.

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Critique : Brimstone

Le cinéaste hollandais Martin Koolhoven part pour la conquête de l’Ouest avec Brimstone ou presque : animé par le désir de réaliser un western féministe, le réalisateur échoue en plusieurs points pour livrer une œuvre punitive.

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