Critique : Ad Astra

Après s’être enfoncé dans la chaleur humide de la jungle dans The Lost City of Z, James Gray met le cap sur des horizons étoilés. Avec Ad Astra, le cinéaste américain livre une œuvre de science-fiction remarquable, connectant l’universel à l’intime dans un voyage unique, qui évoque le cheminement sinueux d’Apocalypse Now.

LIRE LA SUITE