Critique : Trois visages

Prix du scénario à Cannes 2018, ex-aequo avec Heureux comme Lazzaro d’Alice Rohrwacher, Trois visages conduit Jafar Panahi à observer les paradoxes de la société iranienne, notamment en s’interrogeant sur la place de l’artiste en son sein.

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Critique : Taxi Téhéran

L’iranien Jafar Panahi est probablement l’un des cinéastes les plus braves en activité. Alors que le régime iranien lui a interdit de réaliser des films et de quitter le pays pendant vingt ans en 2010, Panahi continue de braver ces ignobles interdictions au nom de la liberté d’expression et par amour du cinéma. Tourné clandestinement, Taxi Téhéran passe par la(…)

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