Critique : Je verrai toujours vos visages

Suivant le même principe que Pupille (2018), Je verrai toujours vos visages nous invite dans un univers particulier, se montrant à la fois didactique et touchant – et sans jamais verser dans le mélodrame. La justice restaurative, ou le pouvoir sacré du dialogue, entre expression et écoute. Un long-métrage captivant.

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Critique : Effacer l’historique

Benoît Delépine et Gustave Kervern se penchent sur les travers des nouvelles technologies dans une France post-gilets jaunes qui se trimballe une sacrée gueule de bois. Des gueules, en voilà des nouvelles dans le cinéma de ce duo de cinéastes puisque ce sont Blanche Gardin, Corinne Masiero et Denis Podalydès (de la Comédie-Française) qui se retrouvent à errer dans cette(…)

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