Critique : Nocturama

Après L’Appollonide (Souvenirs de la maison close) et Saint Laurent, Bertrand Bonello revient à notre époque avec un sujet brûlant. Dans Nocturama, un groupe de jeunes prépare un vaste attentat au cœur de la capitale. Une œuvre qui suscite autant le malaise qu’elle soulève de questions sur une jeunesse française désabusée ainsi qu’une société capitaliste déshumanisante.

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[Cannes 2014] #04 Samedi saint

Samedi 17 mai 2014, véritable culte pour les films avec quatre longs métrages : Saint Laurent, Amour fou, Le Meraviglie et The Disappearance of Eleanor Rigby. Photo ci-dessus, l’équipe du film The Disappearance of Eleanor Rigby sur la scène de la salle Debussy.

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[Critique] L’Apollonide – souvenirs de la maison close (Bertrand Bonello)

Mise à jour du 08/12/16 : chronique à mettre à la poubelle. Explications. A l’heure des débats stériles sur la prostitution, de la probable pénalisation des clients, des tergiversations sur la réouverture des maisons closes, un cinéaste décide, après la série Maison Close produite par Canal +, de capturer l’ambiance d’un bordel au début du XXe siècle. Avec L’Apollonide –(…)

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