Critique : Les Banshees d’Inisherin

Le réalisateur Martin McDonagh retrouve l’Irlande suite à la consécration avec 3 Billboards – les panneaux de la vengeance (2017). Situé sur une île isolée de la côte irlandaise, ce nouveau long métrage qui réunit à nouveau Colin Farrell et Brendan Gleeson, quatorze ans après Bons baisers de Bruges, relate un étrange conflit sous fond de folklore local.

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Critique : Glass Onion

Suite au succès de A Couteaux tirés (2019), le cinéaste Rian Johnson et le comédien Daniel Craig repartent pour une nouvelle enquête, en Grèce et sur Netflix. Glass Onion : une histoire à couteaux tirés réunit un groupe d’amis autour d’un milliardaire pour un week-end meurtrier. Une nouvelle comédie policière enjouée, mais qui séduit beaucoup moins que le précédent film.

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Critique : Avatar la voie de l’eau

James Cameron livre enfin son premier long métrage depuis la sortie du premier Avatar en 2009. Maintes fois repoussé, notamment suite au rachat de la Fox par Disney, Avatar : la voie de l’eau se présente comme le deuxième segment de ce qui doit devenir une pentalogie. Si la technique se montre encore plus impressionnante avec cette nouvelle exploration de Pandora,(…)

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Critique : Troll

Peut-être que des amateurs de cinéma d’action se souviennent encore du douloureux Tomb Raider (2018) avec Alicia Vikander, signé Roar Uthaug. Le cinéaste retrouve sa Norvège natale avec Troll, film fantastique qui se montre probablement moins pénible mais tout aussi raté.

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Critique : Bones and All

Le cinéaste italien Luca Guadagnino adapte un roman de Camille DeAngelis avec Bones and All, qui marque ses retrouvailles avec Timothée Chalamet et un cinéma plus inspiré que lors de sa relecture de Suspiria (2018). Chronique d’une marginalité marquée par le cannibalisme, ce drame à la lisière de l’horreur met en lumière la jeune actrice Taylor Russell.

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Critique : Violent night

Avec Violent Night, le réalisateur norvégien Tommy Wirkola revisite la figure du Père Noël dans un home invasion le soir du réveillon, évoquant Maman, j’ai raté l’avion (1990) mais sans prendre de pincettes avec la violence. Dans le rôle principal, David Harbour se montre poilant dans un film qui souffre de quelques temps morts.

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