Critique : Sale temps à l’hôtel El Royale

Drew Goddard signe son deuxième long métrage comme réalisateur avec Sale temps à l’hôtel El Royale, polar à la structure éclatée qui rappelle la forme des films de Quentin Tarantino, sans la maestria rythmique ni les dialogues incisifs. Pourtant, en s’attachant vraiment à ses personnages et grâce à une poignée de scènes brillantes, le film s’avère plutôt divertissant, à défaut(…)

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