[Critique] Paperboy (Lee Daniels)

Lee Daniels est probablement entouré d’une aura divine : après avoir réussi à obtenir plusieurs nominations et récompenses aux Oscars pour son lamentable mélodrame Precious, voici qu’il réussit à entrer en Compétition Officielle à Cannes en 2012 avec Paperboy. Si le réalisateur fait preuve d’un style moins criard, la profonde vanité habitant ce troisième long métrage lui ôte toute saveur.

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[Critique] Effraction (Joel Schumacher)

Joel Schumacher est loin d’être un grand nom du cinéma américain, mais si le réalisateur nous a habitué à une certaine médiocrité au cours de sa carrière, et surtout, ces dernières années, rien ne pouvait annoncer l’infamie de ce thriller qui ne mérite même pas sa place dans une salle de cinéma.

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