Critique : Je verrai toujours vos visages

Suivant le même principe que Pupille (2018), Je verrai toujours vos visages nous invite dans un univers particulier, se montrant à la fois didactique et touchant – et sans jamais verser dans le mélodrame. La justice restaurative, ou le pouvoir sacré du dialogue, entre expression et écoute. Un long-métrage captivant.

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Critique : Pupille

Second long métrage de Jeanne Herry, Pupille suit le parcours d’adoption d’un bébé. Un film touchant et didactique, mettant en lumière les nombreuses personnes autour de ces enfants en quête d’un foyer pour vivre.

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