Critique : Iris et les hommes

Vincent Elbaz et Laure Calamy sont au lit dans Iris et les hommes

Caroline Vignal retrouve Laure Calamy trois ans après Antoinette dans les Cévennes pour une nouvelle comédie axée autour de l’amour. Cette fois, pas de pérégrinations mais une valse de mâles au travers d’une application de rencontre, afin de combler le vide sexuel qui s’est instauré dans le couple d’une dentiste. Une nouvelle collaboration poilante et pleine de tendresse

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Critique : Antoinette dans les Cévennes

Comédie de la cuvée de la Sélection Officielle du Festival de Cannes 2020 sans festivité, Antoinette dans les Cévennes de Caroline Vignal joue avec les sentiers battus de la comédie de couple, offrant à Laure Calamy un premier rôle qu’elle saisit à la perfection. Une savoureuse invitation à l’aventure et à l’introspection.

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Critique : Je veux juste en finir

Cela faisait cinq ans que l’on ne voyait plus Charlie Kaufman attaché à un projet cinématographique, que ce soit comme scénariste ou réalisateur. Le voici de retour avec la double casquette pour Je veux juste en finir, adaptation du roman I’m thinking of ending things de Iain Reid. Nouvelle œuvre inclassable, entre le road-movie existentialiste et le drame surréaliste, ce(…)

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Critique : Paris est à nous

Projet né d’une volonté d’agir plutôt que d’attendre des financements, Paris est à nous (initialement intitulé Paris est une fête comme le roman d’Ernest Hemingway) d’Elisabeth Vogler est disponible sur Netflix depuis le 22 février. Une œuvre expérimentale qui concentre forces et faiblesses avec un véritable désir de cinéma, influencé par Terrence Malick, Gaspar Noé et David Lynch.

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