Fiche Technique :
Frangins Malgré Eux (2008) réalisé par Adam McKay
Avec : Will Ferrell, John C. Reilly, Richard Jenkins, Mary Steenburgen, Adam Scott, Kathryn Hahn
Titre original : Step brothers
Durée : 97 mn (version cinéma) ; 106 mn (version longue)
Genre : Comédie
Blu-ray testé : Région A B C (édition française)
Pistes Audio : Anglais, Français, Espagnol dolby TrueHD 5.1 ; Catalan Dolby Digital 5.1
Sous-titres : Français, Anglais, Espagnol, Arabe, Néerlandais, Portugais
Format d’image : 2.35:1
Codec : MPEG-4 AVC
Résolution : 1080p
Editeur : Sony
Frangins Malgré Eux (2008) réalisé par Adam McKay
Avec : Will Ferrell, John C. Reilly, Richard Jenkins, Mary Steenburgen, Adam Scott, Kathryn Hahn
Titre original : Step brothers
Durée : 97 mn (version cinéma) ; 106 mn (version longue)
Genre : Comédie
Blu-ray testé : Région A B C (édition française)
Pistes Audio : Anglais, Français, Espagnol dolby TrueHD 5.1 ; Catalan Dolby Digital 5.1
Sous-titres : Français, Anglais, Espagnol, Arabe, Néerlandais, Portugais
Format d’image : 2.35:1
Codec : MPEG-4 AVC
Résolution : 1080p
Editeur : Sony
Synopsis :
Brennan (Will Ferrell) et Dale (John C. Reilly) ont la quarantaine, vivent chez leur parent et se comportent comme des adolescents en pleine puberté. Lorsque leurs parents respectifs vont se rencontrer et se marier, ils vont devoir partager la même maison et apprendre à vivre ensemble.
Brennan (Will Ferrell) et Dale (John C. Reilly) ont la quarantaine, vivent chez leur parent et se comportent comme des adolescents en pleine puberté. Lorsque leurs parents respectifs vont se rencontrer et se marier, ils vont devoir partager la même maison et apprendre à vivre ensemble.
Mini-critique :
Frangins Malgré Eux provient du même trio à l’origine de Ricky Bobby (Talladega Nights) : Adam McKay, Will Ferrell et John C. Reilly. Ces deux derniers, parfaits en grands benêts, enchainent les gags puérils, parfois grossiers, surtout au travers de répliques qui visent rarement au-dessus de la ceinture et ils s’en donnent à cœur joie. Il n’y a pourtant rien de fondamentalement idiot derrière cette fraternité par mariage des parents de ces deux hommes qui n’ont jamais quitté leur mère ou leur père, car cette comédie, derrière son raz-de-marée de conneries jubilatoires, s’intéresse au passage à l’âge adulte, l’arrivée des responsabilité et l’abandon de son âme d’enfant. Peut-on mener convenablement une vie d’adulte en ayant renié toute part de l’enfance ? Que vous soyez intéressé par ce message sous-jacent ou non, Frangins Malgré Eux est un sublime florilège de bêtises pour activer les zygomatiques, évitant tout juste d’être lourdingue, avec son lot de passages délirants – dont, à mes yeux, deux séquences musicales mémorables. Bref, un film idéal pour une soirée décontractée entre amis, ou tout seul, quand les choses vont mal et qu’un peu de remontant est nécessaire pour le moral !
Frangins Malgré Eux provient du même trio à l’origine de Ricky Bobby (Talladega Nights) : Adam McKay, Will Ferrell et John C. Reilly. Ces deux derniers, parfaits en grands benêts, enchainent les gags puérils, parfois grossiers, surtout au travers de répliques qui visent rarement au-dessus de la ceinture et ils s’en donnent à cœur joie. Il n’y a pourtant rien de fondamentalement idiot derrière cette fraternité par mariage des parents de ces deux hommes qui n’ont jamais quitté leur mère ou leur père, car cette comédie, derrière son raz-de-marée de conneries jubilatoires, s’intéresse au passage à l’âge adulte, l’arrivée des responsabilité et l’abandon de son âme d’enfant. Peut-on mener convenablement une vie d’adulte en ayant renié toute part de l’enfance ? Que vous soyez intéressé par ce message sous-jacent ou non, Frangins Malgré Eux est un sublime florilège de bêtises pour activer les zygomatiques, évitant tout juste d’être lourdingue, avec son lot de passages délirants – dont, à mes yeux, deux séquences musicales mémorables. Bref, un film idéal pour une soirée décontractée entre amis, ou tout seul, quand les choses vont mal et qu’un peu de remontant est nécessaire pour le moral !
Bande annonce (VO) :
Le Blu-ray
– Image :
Un très bon transfert pour un film qui bien entendu, n’est pas là pour en mettre plein la vue, la plupart des scènes étant des plans rapprochés en intérieur. Le piqué et le niveau de détails sont bons, les couleurs parfaitement naturelles. Seule une poignée de courtes scènes souffrent d’un peu de fourmillement, rien de préjudiciable à cette comédie.
Un très bon transfert pour un film qui bien entendu, n’est pas là pour en mettre plein la vue, la plupart des scènes étant des plans rapprochés en intérieur. Le piqué et le niveau de détails sont bons, les couleurs parfaitement naturelles. Seule une poignée de courtes scènes souffrent d’un peu de fourmillement, rien de préjudiciable à cette comédie.
– Son :
Seule la piste en VO est testée.
Du dolby TrueHD de qualité qui boude les enceintes arrières. Les voix sont parfaitement claires, les musiques bien restituées. On aurait apprécié plus de dynamisme sur certains effets et sons, comme la batterie sacrée de Dale.
Seule la piste en VO est testée.
Du dolby TrueHD de qualité qui boude les enceintes arrières. Les voix sont parfaitement claires, les musiques bien restituées. On aurait apprécié plus de dynamisme sur certains effets et sons, comme la batterie sacrée de Dale.
– Bonus :
– Commentaire audio de Will Ferrel, John C. Reilly et Adam McKay sur une musique de Jon Brion. Rien à voire avec un commentaire audio classique puisque la majeure partie est chantée, le résultat est surprenant et amusant.
– Montage vidéo de « Boat’n’Hoes ». Fonctionnalité permettant de monter son clip vidéo à partir de plusieurs angles de prise de vue.
– 5 scènes supplémentaires et étendues.
– Line-O-Rama, des phrases improvisées par les acteurs (6mn)
– Bêtisier (4mn15)
– Prestige Worlwide (4mn51), la scène de présentation de la société en version étendue.
– Clip Boat’n’ Hoes (1mn52), définition standard, format 4/3.
– Dale contre Brennan (6mn52), des confrontations supplémentaires.
– Making of de 22 minutes.
– La musique, documentaire sur la composition de la b.o. (18mn16)
– Fonctionnalités BD-Live
– Commentaire audio de Will Ferrel, John C. Reilly et Adam McKay sur une musique de Jon Brion. Rien à voire avec un commentaire audio classique puisque la majeure partie est chantée, le résultat est surprenant et amusant.
– Montage vidéo de « Boat’n’Hoes ». Fonctionnalité permettant de monter son clip vidéo à partir de plusieurs angles de prise de vue.
– 5 scènes supplémentaires et étendues.
– Line-O-Rama, des phrases improvisées par les acteurs (6mn)
– Bêtisier (4mn15)
– Prestige Worlwide (4mn51), la scène de présentation de la société en version étendue.
– Clip Boat’n’ Hoes (1mn52), définition standard, format 4/3.
– Dale contre Brennan (6mn52), des confrontations supplémentaires.
– Making of de 22 minutes.
– La musique, documentaire sur la composition de la b.o. (18mn16)
– Fonctionnalités BD-Live
Annotations :
Le blu-ray permet de regarder au choix, la version cinéma ou longue du film.
Le blu-ray permet de regarder au choix, la version cinéma ou longue du film.










Heureusement je n’ai pas d’amis. De toute façon je ne crois pas que je leur imposerai Will qui me donne de l’urticaire !
Ah mais je comprends, c’est exactement le genre de type qu’on adore ou qu’on abhorre !